Le Debrief : vos avis sur le premier disque de Ruisseau Cerise

25 janvier 2024

Dans Le Debrief, on récolte vos critiques sur le premier EP du projet solo du biennois Bertrand Vorpe, alias Ruisseau Cerise. Le disque s’appelle Velours, il sort le 2 février sur le label Blizzard Audio Club et la plupart du temps, il vous a caressé dans le sens du poil.

« C’est comme des plumes qui tombent… ou un sorbet acidulé qui tire vers la fraise, le basilic. » Une auditrice

Viens, s’émerveiller, dans le velours, sous les arbres, à bord de notre fusée, corail, les titres des six morceaux mis bout à bout forment à eux seul un appel aux jeux d’enfants. Un voyage éthéré, doux et lumineux, une grosse caresse remplie de synthés lo-fi et de riffs de guitares épurés, le tout porté par une voix diaphane et faussement naïve, nous dit-on.

« Sortir un tel projet, c’est donner une part de soi et oser se mettre à nu. Ça demande du courage. » Un auditeur

On entend parfois Muddy Monk, Sébastien Tellier ou Moderat. Ruisseau Cerise c’est de la dream pop qui invoque le printemps et les méandres de l’amour kitsch. Bertrand Vorpe réagit à vos critiques sur son disque juste ici :

« C’est un peu de la musique de sauna. Je suis pas un songwriter, juste un musicien qui propose des textures sonores. Il y a de la voix noyée dans des kilomètres de reverb parce que j’aime ça. » Bertrand Vorpe

Ruisseau Cerise, Le Debrief :