Le bonheur n’est pas dans le pré. Il est en Finlande.

23 mars 2021

Selon un rapport des Nations Unies qui s’amuse chaque année à classer les pays du plus heureux au plus malheureux, le bonheur est au Nord. Pour la 4e année consécutive, c’est la Finlande qui arrive grand vainqueur et qui se classe numéro 1 des pays où les gens sont le plus heureux, juste devant le Danemark et la Suisse, à la 3e place.

Du bonheur d’être suisse

Et c’est vrai. Je me faisais justement la réflexion, ce matin en me levant. Qu’est ce qu’on est heureux. On sait pas vraiment pourquoi, mais en Suisse on est content. Un peu moins qu’au Danemark et beaucoup moins qu’en Finlande, mais quand même. Au final, ce qui compte surtout, c’est pas tant d’être heureux comme un Finnois ou un Danois que de ne pas être malheureux comme un Rwandais ou un Afghan, les deux pays qui arrivent en queue de classement.

Vivre heureux et caché, en pull en laine

Mais c’est pas très intéressant de parler des gens malheureux. Nous ce qu’on veut voir, c’est du bonheur, des gens heureux. En l’occurrence, des gens heureux en pull en laine puisqu’il semblerait que le bonheur se cache en Scandinavie. Et quand je dis que le bonheur se cache en Scandinavie, depuis le temps, la cachette est grillée, on le sait que les gens sont heureux là haut.

De la théorie du bonheur scandinave

Bref, ce qu’on aimerait savoir, c’est comment ils font pour être comme ça heureux. Soit ils sont tous complètement cons, soit ils ont un secret. Il faut savoir, je ne l’ai pas précisé, que ce rapport de l’ONU se base sur plusieurs critères : le produit intérieur brut par personne, l’espérance de vie en bonne santé, la liberté, la perception de la corruption au gouvernement ou les affaires privées. Alors est-ce que le secret du bonheur des gens du Nord se cache derrière un PIB stable ? Eh bien peut-être, mais en ce qui me concerne, j’ai une autre théorie… Si les Scandinaves sont si heureux, c’est parce qu’ils mangent du yogourt nature qui fait du bien à leur transit et facilite leur digestion. Et c’est bien connu, quand le transit va tout va.