Trois ans après la sortie de son premier EP, la voix mélancolique et psyché du genevois Milla Pluton revient chez Cheptel Records pour poser des bombes et des paillettes avec Vilain Garçon. Cinq titres qui font voyager dans les champs, sous terre et loin dans la galaxie. Une projection dans l’espace, toujours avec un billet-retour sur terre pour combattre.
« J’aime bien cette ambivalence…on peut autant écouter ça dans un apéro de PLR sur un rooftop que dans une cave avec des punks. » Un auditeur
Sur une base d’instrumentation lo-fi aussi pastel-sautillante que dark-dissonante, rempli de punshline hyper colorées, Vilain Garçon raconte la fête, la fuite, l’amour et la lutte.
« Le racisme et la transphobie avec la montée de l’extrême droite, je la ressens tous les jours en ce moment à travers les institutions, les réseaux sociaux ou quand je lis le journal le matin. » Milla Pluton
Dans Le Debrief, on écoute vos critiques et Milla Pluton vous répond :
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