Sans être louche on ne peut pas trinquer avec des inconnus

29 mai 2017

Et si l’on vous disait qu’en 1969 déjà, les poètes déploraient le manque d’échanges entre les humains ? Dans un titre sorti cette année-là sur l’album « La Religieuse », Georges Brassens regrettait de ne pouvoir « fleurir de belles inconnues », « trinquer avec des inconnus » ou « serrer la main des inconnus ». On est tombés bien bas, bien bas, chantait-il, accompagné de son éternelle guitare.

Dans notre chronique « Excuse my french », Joane nous propose de redécouvrir ce titre méconnu.