Nathalie Imhof, la graphiste qui a la lumière à tous les étages

8 septembre 2020

En Résidence, la nouvelle émission culturelle de GRRIF, pose ses valises durant une heure chez Nathalie Imhof. La jurassienne, biennoise d’adoption, nous fait visiter sa colocation, de la baignoire au plafond. Capitaine fondatrice du studio Monokini, un bureau de « graphistes libres » (hyper) actifs dans la communication culturelle, Nathalie voue une passion sans limites aux images, autant qu’aux mots. Grâce aux objets glanés dans les dédales de son appart, on suit son parcours artistique, ses intérêts et influences. On croise une pochette d’album organique et électrique, de petits ouvrages qui inspirent son humour déjà aiguisé au scalpel, un éplucheur très très suisse, un frigo rempli plus que d’habitude, un mur enceinte, des vélos bien gardés et un insecte véloce comme seul témoin d’une interview réalisée dans sa baignoire.

«Chez moi, je ne suis pas en mode ‘musée’. J’ai pas ce côté sacral de l’image.»

Nathalie Imhof, L'interview