De Nostromo à la techno

19 décembre 2019

On a fait la route jusqu’à Gimel, au coeur de la campagne vaudoise, pour retrouver Lad Agabekov dans son studio d’enregistrement, Caduceus, un studio « wellness, de pointe ». Sur scène, Lad est surtout connu pour être le bassiste de Nostromo, le groupe de métal hardcore genevois, reformé après plus de 10 ans d’absence.

«J’ai jamais été un clanique. Je suis au service de la musique du mieux que je peux l’être.»

Ce qu’on oublie souvent, c’est que ce passionné d’audio numérique est aussi DJ, producteur et fondateur de son propre label. D’Ibiza à Genève, Lad nous raconte son atterrissage dans la musique électronique et son regard sur la scène actuelle. Après avoir enfilé sa casquette de métaleux et déclamé une insulte en suédois, il nous explique l’ambition et la stratégie de Nostromo pour survivre dans une époque où les enjeux ne sont pas les mêmes que lors du premier âge du groupe.

Lad Agabekov, L'interview