Cette semaine, les auditeurices du Debrief jugent le nouvel EP de l’auteur, compositeur et interprète Franc-Montagnard Félicien Lia. Entre la programmation du Spiegelberg Festival à Saignelégier et celle de la Fête de la Musique à Genève, il vient nous présenter son tout dernier disque : Tout Bien Tout Triste et surtout, réagir aux critiques.
« Une musique qui pourrait passer dans un coffee shop un peu hipster, très millénial et un peu pop. » Une auditrice
Avec Tout bien tout Triste, Félicien Lia poursuit son virage amorcé en 2019 avec Des feux des fous. Entre kraut, garage et groove, il s’éloigne de la chanson intimiste pour explorer une matière plus urbaine, plus brute, plus dansante. Un EP à la fois poétique et viscéral, qui s’attarde sur les méandres de la vie intérieure.
« Tout bien Tout triste, ça veut dire beaucoup de mélancolie et de contradictions, mais il faut quand même qu’on avance et qu’on aie du fun. » Félicien Lia
Entouré de Louise Knobil (basse, voix) et Julien Israelian (percussions, boîtes à rythmes), le trio a façonné ses morceaux sur la route – ou plutôt sur les rails. Depuis 2021, ils tournent exclusivement en train à travers l’Europe, et testent leurs compositions en live avant de les fixer en studio.
« Je suis pas du tout attaché aux premières versions des chansons. Je suis parfois un peu extrême à vouloir changer tout le temps. » Félicien Lia
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