Dans la grande réunion culturelle qui confronte les artistes à la critique de leur public, cette semaine j’accueille Kevin Galland. Genevois d’origine, Chaux-de-Fonniers d’adoption, on le connaît notamment pour être le bassiste et claviériste de Coilguns et aussi l’ingé son d’une ribambelle de groupes puisqu’il est le copropriétaire du Studio Mécanique dans la cité horlogère. En solo, il pratique une folk sombre et habitée. Deux ans après son premier EP, From the Mountains to the See, le 6 juin il revient chez Humus Records avec un album 11 titres sous son bonnet : In the Silence Between Worlds.
« Cet album est d’une puissance émotionnelle bouleversante. Félicitation pour le courage d’avoir exprimé tout ça en musique. C’est assez décontenançant. » Une auditrice
Dans son premier album, Kevin Galland explore un mélange de sons acoustiques et électroniques autour de thèmes à la fois très intimes et universels : la dépression, le deuil, l’amour, l’espoir ou l’art. Au service de berceuses folk exutoires qui n’étaient tout d’abord pas destinées au public, un piano feutré, une guitare acoustique, un synthé et une batterie électronique. Des chansons en anglais parfois dark et grinçantes, parfois moelleuses et rythmées, toujours introspectives, menées par sa voix soufflée, autant suspendue que profonde. In The Silence Between Worlds : « fait référence à ces moments suspendus de la vie quand un chapitre s’est terminé mais le suivant n’a pas encore tout à fait commencé. ». Kevin Galland réagit à vos opinion sur son premier dans Le Debrief.
« Cet album c’est une démarche de catharsis très très importante, limite vitale. » Kevin Galland
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