L’apprentissage en entreprise: une spécialité typiquement suisse dans l’assiette du jour des démineurs.
Sonner chez un patron à 15 ans, se faire engager, suivre des cours en même temps et décrocher un CFC deux, trois ou quatre ans plus tard, ce n’est pas une formation qui existe partout.
Le 15 mai, c’était la journée intercantonale de l’apprentissage. 15 cantons sans oublier le Liechtenstein qui se mettent ensemble pour échanger sur le sujet. Les démineurs auraient volontiers engagé un apprenti, mais c’est trop dangereux.
L’histoire de l’apprentissage
Par Cédric
L’apprentissage, pas assez reconnu par rapport aux études?
L’avis des apprentis, étudiants et du professeur de psychologie et d’éducation, Jean-François Perret
Les passerelles, et vive les changement de filières
Directeur de l’office neuchâtelois d’orientation professionnelle, Jean-Marie Fragnière
Le modèle de formation duale en Suisse, un modèle pour le monde
Observateur et émissaire gabonais en Suisse, Bon-Jean Félicien
Et les patrons, ils les apprécient comment, leurs apprentis?
Luc Rouiller et Nicolas Eymann, boss d’une serrurerie et d’une société de chauffage-climatisation
La suite des patrons: on a joué à « tu préfères…? »
Luc Rouiller et Nicolas Eymann
Un apprenti heureux, s’il est arrosé, est-ce que ça donne forcément un employé heureux?
Les hasards du calendrier gardent les démineurs dans le milieu du travail. Le bonheur au travail, ça existe vraiment ou c’est quelque chose qu’on essaie de nous faire avaler pour qu’on se tue à l’ouvrage sans mot dire?
Si vous croyez fort au bonheur au travail, ou si vous n’y croyez pas du tout, la rédaction de GRRIF récolte vos réactions les plus trempées. Par mail, info@grrif.ch. Si vous n’êtes pas plus heureux devant un clavier qu’au boulot, vous pouvez même nous causer au 032 421 7000.
D’ici là, on vous salue bien bas.
La rédaction: Aurélie, Léonie et Mélanie.